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(M) M. McConaughey › La violence hurle et je lui souris

 :: PERSONNAGES PRIS
(M) M. McConaughey › La violence hurle et je lui souris - Mer 29 Nov - 16:58
Varri Bjurman
sorciers
sorciers


Varri Bjurman
EFFIGIE : Charlize Theron
BAFOUILLES : 10946
PACTE : 04/01/2017
(M) M. McConaughey › La violence hurle et je lui souris 53-53d0036

OSSATURE : 37 ans
CONTRAT : Kiffe se soumettre à un certain mâle alpha et a du mal à l'admettre. A le palpitant qui déconne en sa présence. En couple donc, toujours fourrée dans les bras d'Irénée.
BESOGNE : Ancien officier de police. Morte aux yeux du monde dans l'asile dont elle s'est échappée.
FABLE : Elle a des doutes, surtout depuis qu'elle a perdu le bébé difforme qui grandissait en son sein. Celui qui a bien failli la rendre folle
ÉCHINE : Tout porte à croire qu'elle est la chair faible. Une humaine. Et pourtant, ses rêves ont toujours été peuplés de visions indéchiffrables à la symbolique poignante. Maintenant qu'elle est à Rome, elle rêve éveillée - sur le passé des gens. Elle est sorcière mais ignore encore tout de la vraisemblance de cette situation.
PRESTIGE : Clairvoyance empathique. Varri peut vivre les souvenirs des autres.
CREDIT : Carnavage
konrad jansson
NOM  ‹ jansson. PRÉNOM ‹ konrad. ÂGE ‹ 44 ans. DATE, LIEU DE NAISSANCE ‹ kiruna, laponie suédoise. NATIONALITÉ ‹ suédois. RACE ‹ humain. STATUT CIVIL ‹ libre. Il faut juste prendre en compte que Varri & Konrad ont été en couple durant deux ans il y a plusieurs années. STATUT FINANCIER ‹ modeste. STATUT FAMILIAL ‹ libre. ORIENTATION ‹ hétérosexuel. OCCUPATION ‹ inspecteur de police. CARACTÈRE ‹ écrire ici. AVATAR ‹ matthew mcconaughey.

anecdotes & histoire
Konrad, c’est un type droit dans ses pompes. Même s’il lui arrive de bouillir à l’intérieur, le suédois parvient toujours à sauver les apparences. Il a un flegme. Une certaine froideur inébranlable – de celui qui en a croisé des criminels. De ceux de la pire espèce. Qui les a éprouvé et qui a survécu à l’envie prenante de leur démolir la gueule.

Konrad déteste les briques de lait car elles affichaient toutes fut un temps le portrait de ces gosses disparus. Ça lui rappelle surtout le cliché en papier glacé de sa sœur volatilisée un mardi de mars après l’école. Il avait douze ans quand c’est arrivé – elle, n’en avait que sept. Alors, il a pris son vélo à la peinture rouge écaillée et au guidon tordu et est allé jusqu’à la forêt du coin avec Rapace et Strandberg, ses amis de l’époque. Et des semaines durant, il l’a cherché. Evy. Sa petite sœur. Ce n’est que trois mois plus tard qu’un homme a été arrêté et que le cadavre a été retrouvé parmi celui de cinq autres petites filles. Un monsieur tout le monde, le coupable. Konrad dit que c’est les pires – ceux qui arrivent à berner leur monde. Leurs voisins, leur famille. On leur dit bonjour tous les matins, on leur prête des outils puis on apprend qu’ils étaient viciés jusqu’à l’os. Qu’ils nous ont regardé tout ce temps en se marrant à l’idée qu’une gamine était en train de crever dans un puit à deux mètres de là.

Konrad dit qu’un flic devient toujours ce qu’il est par motivation personnelle. Qu’il cherche la rédemption, ou une connerie de ce genre. Une manière de se sentir utile. De faire la différence. Et que c’est pour ça que les flics tombent souvent en dépression, car y a toujours un moment où ils réalisent que ce n’est pas le cas. Qu’un éboueur a plus de chance de voir de la gratitude chez les gens pour l’utilité publique de son job qu’un flic n’a de probabilité d’arracher un soulagement chez la famille des victimes.

Konrad dit qu'on peut rire de tout. Il rit de tout, même quand ça semble fort déplacé à tout le monde. Il ne se montre rarement froissé ou soucieux - ce qui a le don d'en exaspérer plus d'un(e). Parfois, l'on peut croire qu'il déshumanise les victimes - que c'est une façon pour lui de se protéger - mais Konrad préfère toujours voir en elles ceux que les criminels ont vu. Car c'est comme ça qu'une enquête peut être élucidée, il y croit dur comme fer.

Avec les filles, ça va comme ça vient. Il a toujours tendance à se montrer fraternel - rapport à sa petite sœur disparue, ça. La séduction n'est donc pas l'art qu'il manie le mieux. Y a bien eu Varri avec qui il s'est bien entendu au détour de bon nombre de provocations. Elle avait 22 ans à l'époque et il en avait 28. Ils sont restés deux ans ensemble. Ont même vécu dans le même appartement. Puis, ils se sont séparés. Car elle était dans le boulot, il était dans le boulot - et il n'y avait pas franchement de place pour eux deux. Mais ils s'entendent toujours. Elle peut même se targuer d'être une amie pour lui. Malgré tout, il a toujours continué à l'appeler Blondie, à Varri. Par affection. Par habitude. Les premières années de rupture, y a eu quelques récidives - quelques facilités à replonger dans le lit l'un de l'autre juste pour ne pas être seul puis plus rien. Faut dire qu'elle est tombée en cloque, Blondie. Et pas de lui mais d'un autre. Il se rappelle de la fois où elle s'est pointée chez lui pour le lui dire. Il se souvient de cette espèce de résignation étrange qu'il a lu en elle quand elle lui a dit vouloir garder le môme. Il a fallu qu'il la cuisine, Konrad, voyant que quelque chose ne tournait pas rond. Et quand il a su, et bien il s'est tu. Pour la première fois depuis longtemps, il a évité de faire quelques blagues de son humour foireux et s'est contenté d'être là - pour elle. ça lui a vrillé les entrailles, au suédois - dans une sensation désagréable qu'il n'avait pas senti depuis longtemps. Trop longtemps. Et il n'a pas aimé ça, oh ça. Il a bien tenté d'en savoir plus sur ce mec mais ça faisait déjà un mois. Et pour sûr que c'était un foutu marin.

Konrad l'a soutenu jusqu'au bout à Varri. Même jusqu'au psy qui tentait de la convaincre que c'était tout à fait normal de douter. Et que son bébé, il n'était pas bizarre. Konrad, lui, n'y connait pas grand chose en bébé mais ces moments là que Varri a enduré, il a juré que c'était les pires jamais connus. Pendant deux ans, jamais il ne l'a vu comme ça. Et il se l'est répété, qu'il ne lui devait rien à Varri, finalement. Qu'il n'était même pas le père de ce môme et qu'il ne le serait pas. Il a bien ressenti le besoin de s'éloigner avant de réaliser qu'elle s'en sortirait probablement, Blondie - de toute cette merde - avec ou sans lui. Mais qu'il ne pouvait pas la laisser. Lui. Parce qu'au delà d'avoir mis leur relation commune derrière eux, ce relent de protection viscérale lui est resté. Tenace. Chevillé au corps.

Konrad aurait pu détester Jorgen Bjurman, le paternel de Varri. Parce qu'il était procureur, toujours tiré à quatre épingles - l'air inflexible et insondable. Qu'il connaissait son métier et qu'il avait le bras long. Il aurait pu avoir une vie sans bavure - si toutefois sa fille n'était pas née de l'union avec une chamane Sami. C'est le genre de sujet qui peut faire naître quelques railleries dans le milieu. Mais Jorgen a toujours été téméraire, investi et s'est révélé être un allié de choix pour quelques affaires. Il est souvent arrivé que ces deux là se retrouvent pour échanger autour d'un whisky.

La cigarette va te tuer, Konrad. Qu'elle lui dit, sa mère. En permanence. A chaque fois qu'il passe le seuil de la porte de la maison familiale. Il ne l'aime pas trop, cette maison, même si il y a grandi. Surtout parce qu'une pièce reste close. En l'état. Depuis plus de trente ans. « J'ai un scoop pour toi, maman. On finit tous par mourir un jour. » Qu'il lui répond souvent. D'une balle dans le myocarde. D'un vice dans la caboche. De la fumée dans les poumons. Qu'importe. Et il pense au père. Son père. Alzheimer lui ronge sa lucidité depuis quelques années déjà. Il est dans un entre deux - entre conscience et déraison. Il se sent menacé, même par sa propre famille. Que reste-t-il alors ? Quand on est un étranger pour ses proches ? Quand ses proches deviennent des étrangers ?

La spécialité de Konrad, c'est la crim'. Les homicides. Les cadavres étendus. Tripailles à l'air, cuisses écartées ou crâne enfoncé. Des vieux, des moins vieux, des putes, des adolescentes et parfois des gamines. Triste constat de voir que c'est le plus souvent la femme qui trinque. C'est que ça le rendrait presque féministe à Konrad. Ou machiste - tout dépend dans quel sens on le voit. Parce que pour lui, le mâle c'est vraiment le mal. Et toutes ces foutues questions lui font  fumer l'encéphale. Autant dire que quand ils en causaient avec Varri, les octaves s'envolaient.

Konrad, il a eu besoin d'une chaise lorsque son supérieur lui a causé de Varri, partie pour Rome. Qu'il lui a dit qu'elle venait d'être arrêtée pour avoir commis un crime sur le territoire italien alors qu'elle venait tout juste d'être suspendue le temps de voir un psy pour un trouble passager. Il a cru à une blague - il a même commencé à s'esclaffer en détaillant l'expression circonspecte de son interlocuteur. Puis il a compris. C'est Konrad qui est allé l'annoncer à Jorgen Bjurman - que sa fille était dans un asile à Rome, le temps que son jugement soit rendu. Et le pire dans tout ça, c'est que pour raisons diplomatiques et parce que Varri n'avait pas de droit de visite - Konrad et Jorgen n'ont même pas pu venir à Rome. Il ne va pas nier que ça lui a fait blêmir les phalanges, ça. Putain de ritals. Il a bien essayé de l'appeler à Varri - a même fait du gringue à la réceptionniste de l'asile pour qu'elle se montre plus conciliante. Mais premier mois, pas possible. Verrouillé. Deuxième mois, Varri a carrément refusé de lui parler. Quant au troisième, il a finalement réussi à l'avoir et s'est perdu dans les quelques minutes d'égarement qu'elle lui a laissé entrevoir. Elle se rappelle pas, la blonde. D'avoir tué quelqu'un.

Alors de suite, il a flairé l'embrouille Konrad. Rome est aussi bien connue pour sa ferveur religieuse et ses bâtiments de charme que pour ses mafias omniprésentes. Il a pris son mal en patience, le temps que les gouvernements se mettent d'accord - que le procès suive son cours. A désespéré du temps que ça prenait. Puis il s'est heurté à la révélation qui l'a plombé jusqu'au fond de ses chaussettes. Voilà qu'elle est morte, Varri. Dans l'asile. D'un arrêt cardiaque. Par chance, Konrad et Jorgen ont à peu de choses près la même manière de montrer leur désarroi. Ils sont excellents pour prétendre que rien ne s'est passé - même si c'est un poil plus compliqué pour l'ex-procureur que pour l'ex-conjoint. Pas de scène, pas d'esclandre - une passade un peu compliquée, l'alcool aidant beaucoup. Jorgen Bjurman a exigé que le corps de sa fille soit rapatriée au pays et on lui a annoncé qu'il a été incinéré après autopsie - dossier qu'on lui a faxé d'ailleurs après qu'il ait insisté auprès des autorités compétentes.    

Déni. Colère. Résignation. Le deuil passe par nombre de phases qui distillent le chaos dans la conscience froide. Mais quelque chose demeure. Le désir de savoir ce qu'il s'est réellement passé. Rétablir un peu de vérité dans ce flou nébuleux. Et pouvoir passer à autre chose, probablement. Comme pour Evy.

Alors, Jorgen et Konrad se mettent en quête. Veulent suivre les traces de Blondie à Rome pour comprendre ce qu'il s'est passé. Sans se douter que derrière tout ça, la Nostro Regno veille.
connecting people
varri bjurman
Blondie, l’ex, l’amie
Entre eux, il y a beaucoup d'affection. Un besoin de la protéger aussi, par habitude. Ils ont été en couple durant deux ans, ont partagé le même appartement, parlé souvent boulot. Puis, Varri s'est jetée corps et âme dans son projet de s'occuper des affaires tribales - lui, a continué à faire ce qu'il faisait de mieux à la crim'. Et ça les a séparé,
finalement. Et ils se sont dit que c'était mieux, d'un commun accord. Mais Varri est pour lui ce qui se rapproche le plus d'une amie. Et des amis, Konrad en a bien peu. Il veille toujours sur elle - on peut même dire que c'est plutôt fraternel.


lars hjelm (irénée n. carissi)
le mythe
Il a entendu parler de lui, surtout par Varri qui a souvent été confrontée à lui de par les conflits entre Kvènes et Samis. Y a peut-être eu un brin de jalousie, par le passé - parce que Blondie était trop impliquée, trop curieuse à l'égard du fameux Lars Hjelm, Kvène vindicatif et bouffi d'orgueil. En toute mauvaise foi masculine, il l'a peut-être même détesté un peu. Mais ce sentiment s'est finalement étiolé. Il ne l'a jamais vraiment rencontré à Lars Hjelm. Et s'est simplement dit que c'était mieux ainsi, d'ailleurs.
jorgen bjurman (PNJ)
l’implacable
Jorgen aurait pu être son beau-père et ça ne lui aurait pas déplu à Konrad. Il l'apprécie de par sa droiture et son honnêteté. L'admire même, dans une certaine mesure. Maintenant, Jorgen n'est plus procureur mais lui et Konrad se retrouvent souvent pour parler d'affaires. Le décès de Varri a été un coup dur et les deux hommes en sont venus à la même conclusion. Ils ne veulent pas laisser ça passer. Ils veulent découvrir ce qui s'est réellement passé.


jacopo scaglione
le binôme
Jacopo est italien. Un ancien flic devenu détective suite à une remise en question des instances corrompues.
Un atout de poids, donc, pour trouver ce qui s'est réellement passé concernant Varri. C'est Jorgen Bjurman qui a décidé d'aller le voir. Le courant est plutôt bien passé même si Konrad reste d'un naturel méfiant. Ces deux là vont faire équipe, alors autant mettre toutes les chances de leur côté.
RIGOR MORTIS
Varri Bjurman
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(M) M. McConaughey › La violence hurle et je lui souris - Mer 29 Nov - 17:46
Varri Bjurman
sorciers
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Varri Bjurman
EFFIGIE : Charlize Theron
BAFOUILLES : 10946
PACTE : 04/01/2017
(M) M. McConaughey › La violence hurle et je lui souris 53-53d0036

OSSATURE : 37 ans
CONTRAT : Kiffe se soumettre à un certain mâle alpha et a du mal à l'admettre. A le palpitant qui déconne en sa présence. En couple donc, toujours fourrée dans les bras d'Irénée.
BESOGNE : Ancien officier de police. Morte aux yeux du monde dans l'asile dont elle s'est échappée.
FABLE : Elle a des doutes, surtout depuis qu'elle a perdu le bébé difforme qui grandissait en son sein. Celui qui a bien failli la rendre folle
ÉCHINE : Tout porte à croire qu'elle est la chair faible. Une humaine. Et pourtant, ses rêves ont toujours été peuplés de visions indéchiffrables à la symbolique poignante. Maintenant qu'elle est à Rome, elle rêve éveillée - sur le passé des gens. Elle est sorcière mais ignore encore tout de la vraisemblance de cette situation.
PRESTIGE : Clairvoyance empathique. Varri peut vivre les souvenirs des autres.
CREDIT : Carnavage
précisions
come here, you scrumptious little beauty

Hello vous !  :amourlicorne:
Tout d'abord, merci de vous intéresser à mon scénario ! Avant tout, ne prenez pas peur parce qu'il est étranger ce bon cher Konrad. Même si de ce fait, il n'a pas beaucoup de liens de base - ses possibles évolutions sont nombreuses !
J'ai d'ores et déjà commencé à l'introduire pour la mission qui l'amène à Rome ici !

AVATAR
C'est négociable même si j'avoue que ce bon McConaughey colle parfaitement au personnage, je trouve. De ce fait, l'âge de Konrad peut être modifié, selon la bouille que vous lui attribuerez (tant qu'il a minimum 37 ans).

PATRONYME
Je fais pas mal référence à Konrad dans mes rps donc ce serait cool de garder son prénom mais si il ne vous plait pas, on peut en discuter et je le modifierai dans mes rps. Quant à son nom de famille, vous pouvez le changer.

HISTOIRE, RACE ET LIENS
Pour sa situation, vous êtes libre de lui faire avoir une petite amie - ou une femme, soyons fou - mais il faut prendre en compte le fait que Konrad a quand même décidé d'enquêter pour longtemps sur ce qui est arrivé à Varri donc c'est une sorte de sacrifice qu'il faut prendre en compte pour sa vie sentimentale.
Pour l'histoire, j'ai plus joué sur ma vision du personnage via quelques anecdotes. Vous êtes libre de remanier des trucs si le cœur vous en dit. Concernant Varri par contre, vous êtes invités à m'en parler si vous voyez ça autrement. On se mettra d'accord !
Pour la race, c'est à discuter mais sachant que Varri & Konrad se sont beaucoup côtoyés et que cette dernière n'était pas au courant du surnaturel, ça me semble plus logique que Konrad soit humain. Cela peut bien sûr changer avec son arrivée à Rome où les créatures pullulent davantage qu'à Kiruna oué  
Concernant les liens, même si Varri & Konrad ont eu un lien amoureux dans le passé, ils sont parfaitement au clair avec leur relation à présent. Ils ont beaucoup d'affection l'un pour l'autre (on peut même dire que c'est plus fraternel maintenant, mais on peut aussi très bien en discuter en MP). En tout cas, du côté de Varri - ça n'évoluera pas vers un lien amoureux. Au sujet du pater de Varri, Jorgen Bjurman, j'ai prévu de le jouer pour démarrer l'intrigue de la venue de Jorgen & Konrad à Rome - de ce fait, j'en fais mention dans les liens car il sera utilisable dans les différentes trames à venir. Pour le lien avec Jacopo, ce n'est qu'une petite base à approfondir mais il se trouve que Jacopo sera le binôme d'enquête de Konrad, donc un lien très important. Il en sait beaucoup sur Rome, la corruption de la police, la mafia et est donc un atout de poids pour l'avancement de l'enquête.

PRESENCE ET RP :
Pour la présence, j'avoue avoir un rythme assez soutenu de RP et j'apprécie donc avoir un(e) partenaire qui puisse poster au moins une fois par semaine. Et j'estime que c'est au moins nécessaire pour qu'une intrigue puisse avancer correctement sans bloquer quiconque. Et ainsi permettre des évolutions.
Concernant le RP, sachez juste que j'aime les gens soigneux qui font l'effort de se relire et qui m'épargne les fautes à chaque mot. Je serai d'ailleurs assez regardante là-dessus. Mieux vaut prévenir que guérir  (M) M. McConaughey › La violence hurle et je lui souris 3399786847 Mis à part ça, je ne mange personne et je serai trop contente de vous couvrir de cookies pour tenter ce scénario  :amourlicorne: Viendez, on a des bonbons !  
RIGOR MORTIS
Varri Bjurman
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