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Leave one wolf alive and you're never safe | ft. Sixte

 :: PLACE ST-PIERRE
Leave one wolf alive and you're never safe | ft. Sixte - Mer 27 Sep - 1:10
Astrid A. Schäfer
lycans
lycans


Astrid A. Schäfer
EFFIGIE : Phoebe Tonkin
BAFOUILLES : 348
PACTE : 14/09/2017
Leave one wolf alive and you're never safe | ft. Sixte FDT7ayY

OSSATURE : Les lèvres chuchotent un nombre devenu dérisoire ; carcasse traînant trois quarts de siècle, semblant frôler à peine la trentaine.
CONTRAT : Amante de ses pulsions, la chienne n'est echaînées qu'à ses désirs.
BESOGNE : Mains cruelles, beautés mortelles. De jour bolverk se terre dans son échoppe de décoctions et objets insolites. De nuit, les mains sales s'agrippent aux désirs des éphémères qu'elle séduit de ses danses.
FABLE : x
ÉCHINE : Les os se brisent, la rage se déchaîne alors que la soif d'hémoglobine et de violence fait hurler l'impie. Chien des enfers, rampant dans l'ombre des hommes pour chercher son du.
PRESTIGE : Force bestiale, la louve ne subit plus l'astre lunaire comme ses congénère. Son unité à la meute l'immunise à la perte de contrôle.
GANG : Bolverk pour les Jäger.
CREDIT : tumblr.
Leave one wolf alive and you're never safe | ft. Sixte CHtp11X
leave one wolf alive and you're never safe
Sixte & Astrid

Flickers Pas déterminé, regard fixé. L'impie foule le sol sacré, présence corrosive sur les pavés de la place Saint-Pierre. Elle aurait pu faire ça n'importe où, mais elle était que trop heureuse d'offenser les sbires corrompus du tout puissant, secrètement. Mains enfoncées dans les poches de sa veste, elle les ressort un court instant le temps de remonter son col. Protège son cou du vent frais, et les cache de nouveau tout aussi rapidement. Sourire léger, elle serre dans sa paume le petit objet, précieux. Inspiration profonde, elle lève les yeux et s'arrête, observe la place vibrante. Pleins de vie, hommes, femmes et enfants. Insouciants, préoccupés par un avenir qu'ils disent incertain pourtant déjà tracé. Semblables êtres éphémères à la volonté de sortir du lot, être l'Unique, élus d'un destin digne des derniers films d'actions dont les affiches envahissent les rues de Rome. Fleuve tranquille, symphonie apaisante que de les voir s'agiter ainsi.
Un visage, douloureusement connu de la chienne fait intrusion dans son tableau si tranquille. Pièce manquante et superficielle à la fois, que cet homme. Sans bouger, Astrid contemple encore un moment le décor. D'humeur particulièrement tranquille, même sa présence -pourtant attendue - laissait son cœur impassible. Aussi sereine qu'un explosif à retardement bloqué sur moins deux secondes, elle reprend sa marche vers le centre.

Pendant quelques minutes, la bête se contente de l'observer de face. Comme un nouveau né découvrirait un visage, elle re-découvre celui du bourreau sous un autre angle. Lumière du jour, extérieur. Loin de sa chair. D'un œil méticuleux, elle scrute les traits de son visage d'un calme olympien. Ses mains jadis crispées sur des liens serrés, en sang triturent nerveusement le gadget. Sensation étrange ; il paraît qu'un corps à sa propre mémoire, sensorielle. Coup de scalpel négligé, pourtant elle avait toute son attention. Posée, forcée sur cette table glacée. Poisons dans ses veines, maltraitance de ses chairs. Foutu Vatican, peste du monde moderne.

Elle se débloque, ses pas félins l'avancent vers le médecin. Coupant à travers la foule, esquivant les corps agilement sans le quitter des yeux une seconde. Une fois arrivée à son niveau la foulée ralentit, et elle s’assoit lentement, de façon délicate sur le banc. Trop près pour que ça soit par inattention, trop loin pour être en contact physique. Quoique la bête dise, elle ne supporterait plus le moindre toucher de cet homme. Sans attendre la réaction du dernier, elle sort la puce électronique, encore tâchée de sang séché et de chair. Geste précis, elle la lâche sur la revue du médecin.

Je crois que ceci vous appartient, monsieur ?

Elle ne daigne pas le regarder, ou plutôt plus. Question qu'elle sait sera sans réponse, il ne donnera probablement pas son nom. Croisement de jambes, l'étau se resserre sur l'éphémère. Cul-de-sac dans la gueule du loup, la chienne le tient dans ses griffes.

Belle après-midi non ? La place est plutôt bondée aujourd'hui.

Paroles vaines, arrogantes en contraste avec les milles et unes insultes qu'elle lui eu craché, emplies de sang et rage. Elle attend, ne montre pas son jeu. Elle veut voir le sien d'abord, voir ce qu'il décide de jouer.

© Nightmare sur Épicode.

Astrid A. Schäfer
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Leave one wolf alive and you're never safe | ft. Sixte - Lun 2 Oct - 18:39
Sixte C. Wisthler
humains
humains


Sixte C. Wisthler
EFFIGIE : Jj Feild
BAFOUILLES : 332
PACTE : 30/12/2016
OSSATURE : Trente-six fleurs fanées dans son jardin d'Eden.
CONTRAT : Libre, sans attaches.
BESOGNE : Medecin chercheur pour le Vatican / Ténor demi-caractère se produisant occasionnellement au Teatro Costanzi
FABLE : Inévitable, puisqu'il y est confronté chaque jour.
ÉCHINE : Humain, fragilité égale à celle de l'éphémère
PRESTIGE : Connaissances médicales accrues
GANG : Néant.
CREDIT : Tumblr / Belphegore


“ Excès de confiance, l’échec sera ta doléance ” – S. Fauvel




Cela faisait déjà plus d’une heure qu’ils travaillaient autour de l’hybride aux entrailles exposées. La cage thoracique du malheureux était tenue ouverte par un écarteur autostatique, tandis qu’une unité d’aspiration ponctionnait le sang qui affluait inutilement autour des organes étudiés. Penché au-dessus de la carcasse, un médecin gauche travaillait la matière. Des gouttes de sueur perlaient sur son front et ses gestes, peu précis, lui auraient valu un licenciement s’il avait oeuvré dans un établissement classique. Force était de constater qu’au Vatican, ils n’étaient pas trop regardant.  

« Si les tissus sont résistants, favorisez les ciseaux Mayo. Les Metzenbaum sont ici bien trop délicats à l’usage.  » Le conseil avisé de Sixte agaça ostensiblement le nouveau docteur qui changea d’ustensile brusquement. Avant de réclamer un trocart sur un ton sec. « Vous êtes sûr de ce que vous faites? » Manipulation insensée de l’autre, brutalité omniprésente dans ses mouvements. « Douce.. » Avertissement incomplet, une giclée de sang frais vînt colorer le visage de Sixte, ainsi que sa blouse. Du revers de sa manche il essuya grossièrement son faciès éclaboussé, puis lança un coup d’oeil au moniteur. « Vous venez de tuer votre sujet. » Impulsivité du nouveau recruté ; Excédé, il ôta son tablier qu’il jeta au visage de Wisthler, avant de quitter la pièce en mode furie.

Sixte mit du temps à tout dégager, à tout nettoyer. Le cadavre rangé en chambre froide serait débité plus tard par son bourreau. Chacun sa crasse. Avant de quitter le labo’, il ne put s’empêcher d’aller fouiner sur son ordinateur, afin de relever le suivi de la puce récemment implantée sur une louve. Astrid. L'enregistrement journalier n’indiquait rien d’anormal. Mêmes allées et venues, la routine pour la Singulière. Du moins, c’est ce qu’il s’imagina.

*


Il perdit un peu de son temps place Saint Pierre. Un sandwich en sa possession, il se procura une revue burlesque auprès d’un kiosque, chemina jusqu’à trouver un banc libre de tout occupant. Il y prit place, commença à feuilleter son  magazine d’une main, tout en tenant sa malbouffe de l’autre. Occupé à souhait, il ne fit aucun cas de ceux qui siégèrent à ses côtés.. Jusqu’à ce qu’il soit dérangé dans sa lecture.  

Il ne vit qu’une forme noire tomber entre les pages de son torchon. Puis constata qu’il s’agissait d’un objet manipulé quelques jours auparavant. Sixte lança un regard noir à la charogne, sujet d’étude ambulant. Aux oubliettes, le pistage des vas et vient de la sauvageonne. La puce ôtée de son hôte annulait l’experience menée. Et non seulement elle ruinait son travail, mais venait le provoquer ouvertement. « Avouez… Quelqu’un vous a aidé. » Colère difficilement contenue, il ne devait pas lui montrer qu’il était blessé dans son estime. « Cela a t-il été aussi douloureux que lorsque je vous l’ai implanté? » Il referma sa revue, porta une attention totale sur celle qui le jouxtait. « Oh et dites moi.. Est ce que… Est ce que vous avez chialé ? Je me souviens encore de vos yeux rougis et enflés par le sel. Magnifique tableau. J’aurais du vous immortaliser sur la table d'opération. » Il mima la prise de photo, un sourire infernal aux lippes. Il se savait quelque peu protégé par la présence en masse des promeneurs alentours. Se permettait de lui renvoyer la balle sans aucune gêne. « Vous vous croyez maline, n’est ce pas ? Vous le serez moins, lorsque vous serez de retour à la case départ. Mêmes individus, même manipulation. Shitty luck. »

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Sixte C. Wisthler
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Leave one wolf alive and you're never safe | ft. Sixte - Sam 14 Oct - 15:20
Astrid A. Schäfer
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BAFOUILLES : 348
PACTE : 14/09/2017
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OSSATURE : Les lèvres chuchotent un nombre devenu dérisoire ; carcasse traînant trois quarts de siècle, semblant frôler à peine la trentaine.
CONTRAT : Amante de ses pulsions, la chienne n'est echaînées qu'à ses désirs.
BESOGNE : Mains cruelles, beautés mortelles. De jour bolverk se terre dans son échoppe de décoctions et objets insolites. De nuit, les mains sales s'agrippent aux désirs des éphémères qu'elle séduit de ses danses.
FABLE : x
ÉCHINE : Les os se brisent, la rage se déchaîne alors que la soif d'hémoglobine et de violence fait hurler l'impie. Chien des enfers, rampant dans l'ombre des hommes pour chercher son du.
PRESTIGE : Force bestiale, la louve ne subit plus l'astre lunaire comme ses congénère. Son unité à la meute l'immunise à la perte de contrôle.
GANG : Bolverk pour les Jäger.
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Sixte & Astrid

Flickers Épaules relâchées et muscles détendus, seulement pour mieux pouvoir se bander et arracher. La douce brise rapporte des odeurs de sucreries aux narines de la louve, des effluves humaines et celle du médecin entre-autre.
Les yeux posés sur les pavés humides et la basilique à l'architecture impressionnante. Elle ne venait pas souvent traîner ses pattes dans cette partie de la ville habituellement, éviter la vermine à la main rouge. Mais il faut avouer que l'endroit était magnifique.

Dieu merci quelqu'un m'a aidé ; vous avez tellement bâclé votre travail que seul un professionnel à pu la retirer.

La bête frime sans s'en cacher, pique lancée à son ego. Pendant ces quelques jours enfermée dans les laboratoires de l'Opus, elle n’eut pas l'occasion de faire connaissance avec d'autres faciès que celui du docteur et sa catin d'assistante. En revanche ça lui donna le loisir de cerner ne serait qu'un petit peu la personnalité du bourreau, et de rêver de ce moment ou elle pourrait lui rendre la pareille. Lui, et la sorcière.
Un éclat de rire traverse ses lippes fendues, franc. Provocation vaine, la bête est bien trop sereine pour pouvoir se sentir réellement menacée ou offensée par les propos insultants. Elle observe le médecin mimer et se moquer d'un œil amusé ; cette petite joute lui plaisait, la question était pour combien de temps encore ? L'éphémère crâne comme un coq dans une basse cour, se moque de la louve et ses crocs. La brune berce ses pensées avec cette image là ; la bête brisant le coup du volatile. Prenant appui sur le bois froid du banc, la créature s'approche de quelques centimètres du cadre formé par les mains du médecin.

Vous auriez du, la pellicule aurait été splendide. Qui sait, la prochaine fois je penserais peut être à vous rendre visite avec un appareil photo pour remettre ça.

Sourire enjôleur, morbide ; les crocs rappent contre les lèvres fendues pour se dévoiler à quelques centimètres des doigts de l'imprudent. Quelques secondes seulement, démonstration de force et rappel à l'ordre. Paroles venimeuses et insolente, la louve s'adosse contre le banc et croise ses jambes. Retourner sur sa table d’opération et finir à nouveau sous les doigts du bourreau effectivement, serait une blague de très mauvais goût. D'autant plus qu'elle soupçonne que celui-ci n'en sera que moins délicat avec ses outils, et ne la laissera plus filer. Léger frisson, la chair encore marquée, douloureuse.

Vous voulez me faire retourner sur votre table à nouveau ? C'est un peu précipité vous ne trouvez pas ?, allusion douteuse, classique. La brune enchaîne, sur un ton plus sérieux, Faites attention à ce que vous dites ; un jour je pourrais revenir à la case départ, avec un appareil photo neuf et vous sur votre propre table d'opération, sourire goguenard, persiffleur. Shitty luck, hm ?

© Nightmare sur Épicode.

Astrid A. Schäfer
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Leave one wolf alive and you're never safe | ft. Sixte - Lun 18 Déc - 19:16
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EFFIGIE : Jj Feild
BAFOUILLES : 332
PACTE : 30/12/2016
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FABLE : Inévitable, puisqu'il y est confronté chaque jour.
ÉCHINE : Humain, fragilité égale à celle de l'éphémère
PRESTIGE : Connaissances médicales accrues
GANG : Néant.
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“ Excès de confiance, l’échec sera ta doléance ” – S. Fauvel




Sarcasme renvoyé à celui qui cherchait à blesser. Verve évidente de la louve, qui se targuait de ce revirement de situation. La victoire pour l’une, la frustration pour l’autre. Immense. Incommensurable. A l’image d’un cabot s’apprêtant à mordre, Schäfer lui présenta ses crocs en menaces silencieuses… Sixte se promit de les lui arracher à la tenaille, la prochaine fois qu’elle tomberait entre ses mains. Elle ferait probablement moins la fière, une fois édentée. Beauté défigurée.


Il ne put s’empêcher de se gausser bruyamment lorsqu’elle le défia ouvertement, abordant l’éventualité des rôles inversés. « Et ensuite ? Développez je vous prie. » Il pivota vers elle, lui présenta un minois à l’expression horriblement belliqueuse. « Que ferez vous ? » Il se pencha en avant. Imperceptiblement, inclina la tête sur le côté, observa son interlocutrice. « Je doute que vous ayez une imagination fertile Astrid. Nous risquerions tous deux de nous ennuyer fermement. Néanmoins, ne désespérez pas ; Internet regorge d’idées tortures pour les néophytes. » Fanfaron à grande gueule. Comportement outrageux, dangereux. Une passante qui errait en l’endroit les interrogea du regard avant de presser le pas, éprouvant probablement la tension fébrile qui animait les deux lurons. « Cela vous permettrait de pallier les lacunes de votre caboche toute vide. » Pichenette portée au front de la créature pour appuyer ses propos.


Il allait lui parler du syndrome de Stockholm, du manque qu’elle devait éprouver pour être venue ainsi à son encontre, lorsqu’un ballon vînt se loger entre les jambes fuselées de Schäfer. Apparut un marmot penaud qui vînt se poster devant la sauvage, tendit l’une de ses menottes, montrant du doigt son bien coincé sous le banc. « Pshht, file vite garnement ! Avant que cette vieille folle ne te dévore tout cru ! » Le môme fit quelques pas en arrière, lança à la concernée un regard emprunt d’hésitation et de peur mêlées.  C’est qu’étrangement, à y regarder de plus près... Cette femme n’avait rien d’une “folle”... A contrario de l’homme à l’air déluré qui la jouxtait.

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