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"Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit ; mais la blessure d'une mauvaise parole ne se répare jamais."

 :: HOPITAL PSYCHIATRIQUE
"Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit ; mais la blessure d'une mauvaise parole ne se répare jamais." - Sam 17 Fév - 12:09
Ivo Ianchello
lycans
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Ivo Ianchello
EFFIGIE : Manu Bennett
BAFOUILLES : 282
PACTE : 25/11/2017
"Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit ; mais la blessure d'une mauvaise parole ne se répare jamais." - Page 2 1374862362-sirxus

OSSATURE : Physiquement, la quarantaine..
CONTRAT : Célibataire, son cœur appartient aux arènes.
BESOGNE : Propriétaire du fight-club.
FABLE : /
ÉCHINE : Lycanthrope sans pur..
GANG : Sacra Corona.
CREDIT : Tumblr /Bazzars
Le calme.
Ianchello ne souhaite plus de contact physique. Ce n'est pas de sa faute, loin d'avoir cette habitude qu'on le soigne. Qu'on soit doux avec lui. Les gestes inhabituelles de cette dernière le perturbe un peu. Il ne connaît que la violence. La remarque lui arracherait presque un rire. « Une prostituée, carrément... », murmure t-il en posant ses billes dans les siennes. Les femmes sont toujours très gentilles entre elles. La demoiselle évite les billets et s'éloigne aussitôt. Le geste gêne visiblement. Elle n'y croyait pas, elle pensait à une blague. Il lève son séant et pose la liasse sur la table où repose ses outils, bien en évidence. Elle indique par la suite qu'elle aimerait poursuivre son oeuvre. Lui propose alors deux solutions, la méthode habituelle où bien la baume cicatrisante. Il doit choisir. Il n'aimerait pas lui faire perdre son temps puisqu'elle semble épuisée de sa journée. « Je me contenterai du baume.. », qu'il lui dit en récupérant l'objet entre ses phalanges. La rétine lorgne son petit sourire alors qu'elle lui indique son utilisation.  « Toi, tu me diras pourquoi ça ne va pas ? .. », quémande t-il une seconde fois. Elle préfère sans doute le silence comme réponse, alors il s'approche doucement de cette dernière. Impose sa présence, piétine volontairement son espace vital. « Pourquoi tu ne parles pas. Tu ne me fais pas confiance depuis le temps ? Tu penses que je pourrai te trahir.  », qu'il dit sèchement, des paroles dures, mais il est sincère.  « Je ne continuerai pas de te voir, si ce n'est pas le cas..  », qu'il poursuit en soupirant légèrement. Il bouscule mentalement un peu trop la jeune femme. Elle n'aime sans doute pas ses mots mais elle sait ce qu'il pense en tout cas. Ivo s'éloigne d'elle, lui laisse du temps. Il récupère ses affaires qu'il enfile. Retient un soupir lorsque le textile touche son épaule blessée. « Je te raccompagne si tu veux..  », qu'il lui propose gentiment en attendant des réponses. Elle attise sa curiosité, son regard animal lorgnant le minois féminin.

(c) AMIANTE
Ivo Ianchello
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"Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit ; mais la blessure d'une mauvaise parole ne se répare jamais." - Sam 17 Fév - 16:30
Anonymous
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Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit
Elle hausse les épaules, n'en dit pas plus sur le sujet. Elle l'ignore encore à ce moment-là mais quelques jours plus tard, les ennuis commenceraient. Peut-être cela lui aurait-il rapporté d'être prostituée, mais le problème était qu'elle se serait lassé des plaisirs de la chair qui n'auraient ainsi été qu'un travail laborieux au fil des ans. Et puis, ça ne rapportait pas non plus énormément, et on ne savait jamais ce qu'il pouvait nous arriver. Il suffisait d'un client malhonnête pour porter un enfant non désiré ou pire encore se faire tuer à coup de fourchette. Seules les femmes au tempérament fort en étaient capables, à condition qu'elles dirigent d'une main de fer et se munissent d'un cœur de pierre. « Cool. » lance-t-elle en débarrassant finalement du baume, prête déjà à repartir. Quand elle se retourne à sa question, elle ne peut s'empêcher de réprimer cette drôle de grimace, et chasse la question d'un geste de la main, ne souhaitant pas plus que ça y répondre. « Tu as vraiment envie de faire ton psy, là ? » demande-t-elle en haussant les sourcils, soudainement gênée par sa présence, si proche, trop proche même. Elle croise les bras sur sa poitrine pour se protéger d'un potentiel assaut, lève les yeux au ciel quand il se remet à parler, espérant attraper des informations qu'elle n'avait pas vraiment envie de lui donner. « Ne me parle pas de confiance. On est pas amis, ni intimes ou quoi que ce soit d'autre. » réplique-t-elle plus pour se protéger que par sincérité. Elle ne voulait juste pas qu'il s’immisce dans sa vie comme tout le monde aimait le faire en ce moment. Elle avait trop de problèmes pour s'occuper de cas comme lui, et devait d'abord s'occuper de son propre état d'esprit. Elle se recule et range le matériel qu'elle a utilisé, finit par plonger les billets dans sa poche, soupirant en entendant Ivo lui proposer de lui tenir compagnie. De toute façon, elle ne pouvait pas vraiment dire non. Jusqu'à ce qu'ils atteignent la périphérie de la ville, ils avaient le même chemin à faire. Et même si elle ne le montrait pas, elle était touchée de cette petite attention. « D'accord, mais ne traîne pas trop. » lance-t-elle finalement, lui lançant un petit sourire pour le rassurer, bien que ce dernier soit plus forcé que naturel. « Quoi, me dis pas que ça t’arrive jamais d’avoir des journées de merde ? » La jeune femme hausse les épaules, se met déjà en route vers la sortie du bâtiment, le laissant le suivre. Elle s’efforçait de fuir son regard, de ne pas broyer de sombres pensées. « Pour être franche, je ne vois pas en quoi ma vie t’intéresse. Qu’est-ce que tu veux que j’te dise, moi, que j’aurais mieux fait d’appeler un plan cul pour me remonter le moral plutôt que de venir te voir ? Je vais vraiment finir par le penser, si tu continues à me poser ce genre de questions. » La blonde soupire, passe une main dans ses cheveux, lasse d’être sans arrêt sur la défensive. Mais elle ne pouvait pas se permettre de trop parler, parce qu’elle n’était pas même sûre de ce qu’elle ressentait réellement au fond d’elle, ni même pourquoi elle était dans cet état. Elle avait juste constamment les larmes aux yeux et chaque haussement de voix la menait un peu plus vers les sanglots répétés. Mais ça, elle faisait tout pour le cacher au loup, évidemment.

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"Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit ; mais la blessure d'une mauvaise parole ne se répare jamais." - Lun 19 Fév - 14:33
Ivo Ianchello
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Ivo Ianchello
EFFIGIE : Manu Bennett
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PACTE : 25/11/2017
"Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit ; mais la blessure d'une mauvaise parole ne se répare jamais." - Page 2 1374862362-sirxus

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CONTRAT : Célibataire, son cœur appartient aux arènes.
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CREDIT : Tumblr /Bazzars
Le calme.
L'attitude de cette dernière le perturbe un peu, c'est presque agaçant. Ça l'énerve un peu. Il n'aime pas être curieux de son côté, ni même faire de grand discours lui aussi. Prendre le temps pour les autres n'est pas dans ses habitudes. Il ne pense qu'à ses arènes, ses combats, ses tournois et les guerriers qui participent. C'est un peu un travail qu'il fait sur lui-même. D'aller voir quelqu'un, de lui dire pourquoi ça ne va pas. Elle est constamment sur la défensive, presque tout le temps agressive. Les mots féminins sont durs. Masque une douleur interne. Une blessure profonde certainement. Refuse que quelqu'un pénètre dans sa petite bulle, sa petite vie. Refuse qu'on la force sans doute. Il s'y prend sans doute mal. Il n'est pas son ami. Ça résonne dans sa caboche, assez violent d'ailleurs, sous l'effet d'une claque. Ianchello reste pourtant calme, reste patient malgré le comportement de la jeune femme. Il reste soudainement silencieux face à ce rejet, pas même un regard pour elle. Le silence plane, pesant. Le regard dans le vide. La demoiselle souhaite par contre partir à ses côtés de cet endroit glauque. Elle pose une question qui restera sans doute sans réponse, lui retournant volontairement la pareil. Emboîtant les pas de cette dernière. Puis elle cherche à savoir pourquoi il s'intéresse à elle. « Tu as raison, je n'essaierai plus d'être intéressé, où même gentil avec toi., qu'il lui dit subitement,  la voix peut-être un peu sèche, reprenant alors ; C'est ce que font les gens sociables je crois. », qu'il soupir dans sa barbe. Essayant d'être gentil, mais apparemment ce n'est pas la bonne méthode à suivre.  Ils avancent dans cette bâtisse abandonnée, quitte cette dernière silencieusement.  « Si tu n'aimes pas ma présence, ni ma curiosité, je pense qu'on doit dire stop à nos rencontres. Je voulais simplement te faire sentir mieux en parlant. Mais tu as raison, je ne suis personne. Je ne te force pas, c'est ton choix. », qu'il lui dit alors naturellement sans un regard. Un nouveau soupir. Drôle d'entrevue. Ne cherche pas de réponse à ses mots. Peut-être que ce n'est pas une bonne personne à côtoyer. Elle cache beaucoup de chose. Conscient de ses propos assez durs. Mais il faut battre le fer quand il est encore chaud. Il prend alors une autre direction à celle de sa camarade, ne cherche pas à aller une seconde fois à elle, pas encore idiot à ce point.

(c) AMIANTE
Ivo Ianchello
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"Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit ; mais la blessure d'une mauvaise parole ne se répare jamais." - Mer 28 Fév - 10:02
Anonymous
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Toute blessure traitée par un habile médecin se guérit
La stupéfaction se lit sur son visage, et elle se retourne vers le loup sans avoir envie de cacher ses émotions. Peut-être était-elle finalement moins habituée aux contacts amicaux qu’elle ne le pensait. De toute façon, sa vie s’effondrait, alors il n’y avait rien d’étonnant à cela. Mais ce qui la surprenait d’autant plus, c’était le cynisme dont il faisait preuve pour qu’elle en vienne à s’en mordre les doigts d’avoir prononcé ces mots. Évidemment, ça fonctionnait, et maintenant, elle s’en voulait terriblement et regrettait de ne pas pouvoir remonter le temps. Être qualifiée de quelqu’un d’asociale, ça la vexait plus que tout au monde, et elle lui aurait bien mis un crochet du droit pour lui remettre les idées en place. Au fond, pourtant, elle savait qu’il n’avait pas tort. Ce n’était pas aux autres de faire des efforts mais à elle, et elle uniquement. Soupirant, elle leva les bras vers le ciel dans u geste de désespoir, incapable de répondre à ça. Elle sert les dents, finit par regarder la route, se mordant la langue quand de nouveaux propos sortent des lèvres de cet homme dont elle ne connaît pas grand-chose. Et quand il fait demi-tour pour la laisser seule tracer son chemin dans la forêt, Olimpia ne tient plus. Elle se rapproche furieusement de lui et empoigne son bras pour l’immobiliser. Il n’y avait pas de volonté de le blesser dans ses gestes, elle estimait seulement qu’il fallait qu’elle lui montre. Fermant les yeux, la sorcière laissa la vague de ses pouvoirs les parcourir tous les deux, grimaçant en sentant les cicatrices s’enfoncer dans sa propre chair. Elle s’arrêta avant que tout son corps n’en soit parcouru, et fixa le brun, avant de retirer son haut pour lui montrer. Elle se moquait bien qu’il soit pudique, elle voulait juste qu’il voit de ses propres yeux la réalité de ce qu’elle faisait à chaque fois qu’elle le soignait. Ses cicatrices à lui étaient là, sur son corps à elle. Poussant un long soupir, elle finit par se rhabiller, jetant un coup d’œil autour d’eux. « C’est suffisant comme réponse ? » demande-t-elle amèrement, un air d’enfant boudeuse s’affichant sur son visage. « Je te rassure, ce n’est pas le plus dur à supporter. Il y a pire. » De son index, elle pointe alors sa propre tempe, les mains tremblantes. « J’ai découvert que ça aussi, tout ce qui a dans la tête de mauvais, je peux le prendre. Et je suis tombée avec un putain de dépressif, alors voilà le résultat. Je suis désolée Ivo d’agir comme ça. Je n’ai pas encore trouvé d’autre remède que de quitter ce monde, mais crois-moi, j’aimerais mieux ne pas le faire. Tu m’as aidé à m’améliorer pour le contrôle d’une partie de mon don. » Elle hausse les épaules, croise les bras sur sa poitrine, observe la forêt, qu’elle trouvait aujourd’hui parfaitement en accord avec ses émotions. Sombre, mystérieuse, et imprévisible surtout. « Autant les blessures physiques je les supporte, grâce à mes crèmes, mais ce qu’il y a dans la tête, ça me dérange. C’est comme si un intrus s’infiltre dans mes pensées, me rend dingue. Tu comprends, ça ? » cette fois, sa voix se brise, ses sourcils se froncent par inquiétude. Elle avait peur qu’il ne décide finalement de la fuir pour lui épargner ce genre de douleur qu’elle tente pourtant de dompter.

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