Un peu d'aide nous fait grand bien, un second sert de soutien. |Max - Lun 19 Fév - 18:35
lycans
Ivo Ianchello
EFFIGIE : Manu Bennett BAFOUILLES : 282 PACTE : 25/11/2017
OSSATURE : Physiquement, la quarantaine.. CONTRAT : Célibataire, son cœur appartient aux arènes. BESOGNE : Propriétaire du fight-club. FABLE : / ÉCHINE : Lycanthrope sans pur.. GANG : Sacra Corona. CREDIT : Tumblr /Bazzars
Rendez-vous.
Drôle de soirée au cabaret hier soir, il y repense d'ailleurs. Voir des femelles déambulées avec des tenues sensuels sur la scène où autour des tables, voir son camarade vampire perdre la tête, être jaloux, conduire un joli bolide à toute vitesse, ça n'a pas de prix. De jolies femelles avec des formes généreuses. Ça fait du bien de temps en temps. Mais il faut redescendre de son petit nuage. La nuit à été de courte durée. La journée s'écoule progressivement, normalement. Des combattants qui défilent, les entraînements sont présents. Spectateur, il contemple les différents duels. Le regard perçant, rien échappe à son œil expert. Il voit les erreurs. Des détails ici et là mais il reste taciturne. Pourtant il semble ailleurs, il pense à ce soir. Un second rendez-vous avec la sangsue. D'ordinaire il n'est pas aussi préoccupé, il se contente d'effectuer ses tâches quotidiennes de façon presque mécanique. Les journées sont rythmées, sans lassitude heureusement. Les heures s'égrènent. Et la journée disparaît lentement pour faire place à la nuit. Pas le temps pour dormir, pas le temps d'attendre, qu'il prend son véhicule pour aller dans un endroit particulier. Songeur, il quitte sa caisse pour aller dans cet hôpital abandonné. Ce n'est pas la première fois qu'il y va, et sûrement pas la dernière. La nuit, cette bâtisse paraît presque effrayante. Ce n'est vraiment pas rassurant, d'aller à l'intérieur. Il y a une pièce qu'il connaît par cœur. Une salle emménagée pour les soins. Loin de l'hôpital, loin des regards indiscrets et oreilles dérangeantes. Sans lumière, sans chauffage. Il s'assoit contre un meuble proche d'une fenêtre cassée. Enfonce son crâne à l'intérieur de sa capuche. La pupille contemple curieusement l'extérieur, il y verrait presque les animaux nocturnes. Le chant du hibou. Les pas des sangliers sans doute. Il écoute attentivement, ça change des arènes la nature. Pas de sang, pas de cris, pas de foule. Le loup semble satisfait d'être ici. Presque en confiance dans cet endroit lugubre. Ianchello s'affale progressivement contre le mur. Prend ses aises. Attend patiemment son partenaire de travail. Le silence est reposant, un peu trop calme d'ailleurs. Il est à la limite de s'endormir mais il sait que l'autre va bientôt venir.
(c) AMIANTE
Ivo Ianchello
Un peu d'aide nous fait grand bien, un second sert de soutien. |Max - Dim 25 Fév - 16:27
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Un peu d'aide nous fait grand bien, un second sert de soutienIvo et Max C’est un sourire idiot sur la bouche quand je descends les étages, du petit immeuble où vit Soya, pour retrouver ma bagnole. Ma foi, ça valait le coup de s’engueuler pour mettre les choses à plat. Ivo me donnait rencard du côté du vieil hôpital. Ce n’est pas la première fois qu’on se voit là-bas. C’est mieux pour tout le monde que ça se passe à l’extérieur et loin des curieux. Pas que ça me gêne mais je ne sais jamais comment je vais finir et réagir quand je suis poussé dans mes dernières limites. Je pense que ce soir ça peut devenir assez hard…je n’ai pas bouffé depuis quelques jours et là je viens de passer une nuit à baiser, autant dire que les guiboles sont cotonneuses, enfin c’est une façon de parler. L’Alfa trouve le chemin toute seule et pénètre dans l’immense parc qui entoure l’hosto. L’endroit pourrait servir de décor à un film d’horreur, il est parfait pour nous. Personne n’aime s’y aventurer et je l’ai parfois utilisé pour mener des mauvais payeurs pour en finir. Les tâches rouges au sol ce n’est pas de la peinture… Ma portière claque comme pour ma signaler à Ivo mais je sais qu’il aura entendu la voiture arrivée bien avant cela. Je me débarrasse des fringues du haut pour rester torse nu, au moins j’aurais de quoi me mettre un minimum au propre ensuite sans être en haillons. Là où j’excelle c’est dans le déplacement. Rapide et léger malgré le poids de ma carrure, mes pas sont silencieux et donnent l’impression de me porter au-dessus du sol. Par contre là où je suis complétement à chier, c’est sur le contrôle de l’immortel. Une transformation involontaire parce que trop de sang ou parce que trop de coups à encaisser. Ivo m’apprend à museler cela pour ne pas tomber dans l’extrême. Si j’osais dire, c’est à pas de loups que je me dirige vers Ivo. Chaleur corporelle, battements de cœur me conduisent à lui…presque à dormir le cul posé sur un meuble en ruine.
– Ben ma poule, tu sais que j’aurais pu te buter au moins quinze fois…C’est que je t’ai manqué à ce point là pour ne pas avoir fermé l’œil ? Je retourne les poches de mon jean. J’ai pas de mouchoir pour essuyer tes yeux.
Trêve de plaisanterie, je replace mes poches, coince mes cheveux dans un élastique avant d’étirer ma nuque.
- ….t’es prévenu j’ai pas bouffé…promets de me faire un petit bisou sur mes bobos si tu me tailles la couenne hein maman ?
Je conclue en sortant mes crocs et en l’invitant à me rentrer dedans. Mais si on s’aime lui et moi.
Un peu d'aide nous fait grand bien, un second sert de soutien. |Max - Dim 4 Mar - 20:01
lycans
Ivo Ianchello
EFFIGIE : Manu Bennett BAFOUILLES : 282 PACTE : 25/11/2017
OSSATURE : Physiquement, la quarantaine.. CONTRAT : Célibataire, son cœur appartient aux arènes. BESOGNE : Propriétaire du fight-club. FABLE : / ÉCHINE : Lycanthrope sans pur.. GANG : Sacra Corona. CREDIT : Tumblr /Bazzars
Duel.
Les paupières s'ouvrent lentement lorsque la portière d'une voiture claque subitement. Signalant que quelqu'un débarque dans cet endroit isolé. Quelqu'un qu'il connaît bien. Il le sait, il le sent. Mais il ne bouge pas pour autant, le guerrier attend patiemment que son camarade arrive. La pupille accroche la silhouette masculine qui fait irruption dans la pièce abandonnée. La sangsue est présente, prêt pour une maîtrise de soi. Prêt pour un combat entre les deux hommes. C'est à lui de faire des efforts, mais c'est un réel challenge pour Ianchello de constamment combattre un vampire. Ce n'est pas quelque chose d'anodin de voir un duel plus où moins amical entre les deux races. Il cherche inlassablement les limites du bonhomme à la peau froide. Redressant sa vieille charpente en entendant les phrases de l'homme. Évidemment, il joue sur les mots, préfère être taquin. C'est une habitude. C'est toujours la même chose. Alors qu'il esquisse un léger sourire en coin sur sa trogne. Délaissant son trône de fortune. L'opposant coiffe sa tignasse et c'est à son tour d'être mauvais. « Une vraie fillette.. », qu'il constate gentiment, l'enquiquinant alors qu'il enlève à son tour sa veste. « Alors ? » , un mot, un seul, ce n'est pas vraiment une question alors qu'il s'approche vivement de lui, sans prévenir. Imprévisible. Que le match commence. Fermant les poings, il commence un enchaînement de coups de poings. D'abord calmement, puis il accélère progressivement c'est plus rapide, plus intense aussi. Glissant sa jambe derrière les siennes pour qu'il finisse au sol. Que ça le déséquilibre. Que son adversaire change de méthode car Ianchello protège son corps, défend aussi son faciès. Les deux protagonistes s'échauffent. « Bon, c'est quoi c'manège hier ? » , qu'il demande subitement. Cherchant à comprendre la relation qu'il entretient avec cette femme. Il ressentait de la jalousie, de la frustration aussi, l'autre soir. Venant de lui, mais aussi venant d'elle. « L'amour affaibli un guerrier. », qu'il rugit en frappant son camarade au visage avec férocité. Pousse le bouchon un peu plus loin que d'habitude. Titille la patience du vampire. « C'est une fille de joie ?», il pose des questions, soupèse tout de même les mots qui s'extrait de ses lippes pour éviter de le mettre en colère. Ce n'est pas le but mais il provoque ouvertement Max pour voir son attitude, l'occasion pour lui de parler, qu'il s'exprime dans l'affrontement.
(c) AMIANTE
Ivo Ianchello
Un peu d'aide nous fait grand bien, un second sert de soutien. |Max - Sam 10 Mar - 15:13
Invité
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Un peu d'aide nous fait grand bien, un second sert de soutienIvo et Max Vous vous rappelez quand je disais qu’on ne mélange pas les torchons et les serviettes… bah c’est toujours le cas hein, sauf que je dois bien le reconnaitre, Ianchello est un vrai pote. Ho je ne dis pas qu’on est copain comme cochon mais je sais que je peux, et pourrais, toujours compter sur lui en toute occasion…et inversement, enfin faut juste pas qu’il m’appelle en plein jour. C’est ça la famille avec un grand F.
Y a un truc que je ne pourrais jamais m’empêcher de faire, c’est de le chambrer. Parait qu’on dit qui aime bien châtie bien, ça doit être ça alors. Remarquez, il ne se prive pas non plus. Je sais qu’il a entendu la voiture mais pas détecter mon arrivée près de lui…par contre celle-là je ne m’y attendais pas du tout après qu’il se soit débarrassé d’une partie de ses fringues. Je me prends plusieurs directs. Mâchoire, abdo avant de pouvoir riposter. Œil pour œil, crocs pour crocs. On pourrait presque ajouter griffes pour griffes. Chacun y va de ses poings, le dernier coup, qui me matraque, fait cracher l’immortel, déformant mes traits. Je finis sur le dos sous l’impulsion d’un balayage. J’éclate de rire sous l’effet de la surprise avant de sauter sur mes jambes. Les poings en avant en guise de parade, sait-on jamais si Ivo enchaine aussitôt. Mes pupilles restent au noir, de même que mes crocs ne se rétractent pas. Un mouvement de nuque circulaire me permet de faire rentrer les choses dans l’ordre, écoutant les interrogations de son partenaire.
- …rien que tu n’aies à savoir. Eludais-je sa question un sourire aux lèvres parce qu’il n’est pas si stupide pour ne pas comprendre de quoi il en retourne d’ailleurs son commentaire suivant le confirme. C’est pour ça que tu préfères la branlette plutôt qu’une fille dans ton lit ? Je m’attends à en recevoir une parce que moi aussi je sais provoquer. Bingo, je m’en prends un bien corsé mais c’est pas du café. L’immortel feule et n’attend pas deux secondes pour réapparaitre. Je crache au sol le sang encombrant ma bouche avant de foncer sur lui. Juste avant l’impact, je pivote sur moi-même et frappe en plein ventre non pas avec un poing mais une jambe. Je fulmine encore bien plus quand il la traite de pute et lui donne raison mes attaques sont plus puissantes et incontrôlées. Je ne l’atteins pas toujours mais lui laisse des traces.
– Ca n’en est pas une…il est loin le temps où je payais pour ça. J’essuie d’un revers de main ma bouche. Mes pupilles s’arrêtent sur son bras, que j’ai dû griffer tout à l’heure. Ma langue passe sur ma bouche. J’ai prévenu que je n’avais pas bouffé alors mes réactions seront sûrement étranges voir ingérables.
Justayne