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I can be your painkiller [ft Florian] [terminé]

 :: HÔTEL
I can be your painkiller [ft Florian] [terminé] - Mar 6 Fév - 11:23
Anonymous
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I can be your painkiller
Oui, c'était bien ce qu'elle pensait. En quelque sorte, il avait de la chance. Lui, il semblait savoir contrôler son don et n'avait pas vraiment de conséquences, à part le fait de supporter qu'il savait des choses que les autres ne savaient pas. Au final, ça avait toujours été pareil, elle avait toujours détesté son don et ne s'était jamais habitué à lui. C'était l'un de ses plus gros problèmes d'ailleurs, que même sa sœur ne connaissait pas. Il fallait dire qu'elles avaient été claires l'une avec l'autre, pas de secret, sauf celui-ci pour mieux se protéger. Jusqu'à aujourd'hui, ça avait plutôt bien fonctionné, mais elles ignoraient si ça allait durer. Olimpia tentait toujours de la convaincre de revenir, et que ce pacte soit brisé pour qu'elles puissent ainsi retrouver leur relation fusionnelle d'avant. En tant que jumelles, elles accordaient beaucoup d'importance à leur famille de sorcières. Pas de doutes, elle enviait Florian en cet instant. Elle ne répondit pourtant pas, observant le plafond. Elle aurait voulu que ce désir et que ce bonheur puissent revenir, mais au fur et à mesure qu'elle y pensait, son cœur se serrait et c'était l'inverse qui se produisait. Elle tourna légèrement la tête pour le regarder, un petit sourire aux lèvres alors qu'il se redressa pour pouvoir l'observer à nouveau. Elle aurait voulu l'attirer à nouveau contre lui, mais à quoi bon ? Il avait raison. Elle n'avait pas à se forcer, et si elle avait besoin d'être aussi bavarde que d'habitude, elle le pouvait bien. « Ah bon, je te plais assez ? » plaisanta-t-elle en souriant un peu plus, le laissant parler par la suite. Elle hoche la tête, se passionne pour son histoire alors que son instinct lui souffle de ne pas le faire. Elle frissonne quand ses doigts viennent en contact avec sa main, comprend parfaitement de quoi il est en train de parler, et enregistre l'information qu'il a deux sœurs, des wiccas, comme elle. « Je t'en prie, continue, ça m'intéresse. » lui intime-t-elle alors, déjà perdue dans l'image que lui renvoyaient ses pensées. Elle imaginait très bien la souffrance qu'elle avait pu endurer en faisant une telle découverte. N'était-ce pas ce qu'avait vécu son fiancé, pris dans sa propre illusion ? Elle avait vécu son éclat de colère et les conséquences auraient pu lui être fatales, si sa mère n'habitait pas juste à côté de chez elle, si elle pouvait le dire ainsi. Si les choses avaient été l'inverse, elle aurait pu être tout aussi bernée que lui, mais l'issue aurait été la même, elle n'aurait pas eu le courage de survivre sans lui. C'était l'effet qu'avait toujours un premier amour, et pire encore quand il avait été le seul de sa vie. Elle soupire, détourne le regard pour le poser de nouveau sur le plafond. « En gros, oui. Il me suffit d'un contact pour que je récupère les blessures sanglantes des autres que je soigne par moi-même. Je suis obligée de mentir pour le cacher. Difficile pour une personne comme moi, qui aime tant s'habiller court et séduire. » Elle lui jette un regard tendre, finit par se redresser et s'approcher de lui. « Il faut croire que les wiccas sont là pour soigner le monde, mais il n'y a personne pour les soigner, elles. » souffle-t-elle avant de venir embrasser Florian, heureuse de pouvoir parler à quelqu'un qui la comprenne. Elle le repoussa instinctivement pour avoir le dessus sur lui, sans cesser le baiser qui se voulait chaud et appétissant. Elle savait que ce n'était plus qu'une question de minutes avant que le boulot ne la rappelle et lui ordonne de revenir dans les dix minutes qui suivaient. Une situation dont elle avait l'habitude, et qu'elle comprenait. Si elle perdait son boulot, elle perdait tout. « Heureusement, je connais tout un tas de techniques pour trouver quelqu'un qui s'en chargera. » Elle retire ce haut nuisette qui la gêne tant, offre de nouveau la vue de son corps nu à ce jeune homme envoûtant. Assise sur lui, elle sourit, passe une main sur sa joue et l'observe, cessant de l'embrasser pour le regarder, et pour qu'il puisse lui aussi la contempler. Elle répondit enfin à la dernière question qu'il lui avait posé précédemment, et qu'elle avait laissé en suspens. « Je ne contrôle pas. J'apprends, lentement avec un homme qui... A besoin de mes services. J'offre mon don pour mieux le maîtriser, mais je suis plutôt mauvaise à ce petit jeu. » Elle hausse les épaules, laisse ses doigts courir le long de son cou, de son torse aussi patiemment que nécessaire pour mieux s'imprégner des détails qui le rendaient si particulier. « Mais tu me sembles avoir un corps sain, alors je ne crains rien, n'est-ce pas ? » demande-t-elle, plongeant son regard dans le sien avant de se pencher à nouveau en avant pour poser son front contre le sien, frôlant ses lèvres, consciente qu'elle n'avait plus le temps pour d'autres loisirs ce matin, et que c'était encore la seule chose qu'elle pouvait lui offrir pour masquer son profond ressenti. « Il faut que j'aille travailler. » murmure-t-elle presque tristement, oubliant sa volonté première de rester toute la matinée.

Codage par Libella sur Graphiorum
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I can be your painkiller [ft Florian] [terminé] - Jeu 8 Fév - 15:24
Florian di Rosa
sorciers
sorciers


Florian di Rosa
EFFIGIE : Douglas Booth.
BAFOUILLES : 218
PACTE : 02/01/2018
I can be your painkiller [ft Florian] [terminé] - Page 2 Tumblr_nefgrviShV1u04ario6_250

OSSATURE : Premier quart de siècle fraîchement atteint.
CONTRAT : Coeur qui n'a encore jamais battu d'amour, garçon persuadé qu'il ne le vivra jamais. Avide de regards fascinés et de caresses-louanges, Florian, trop vite las, subit son célibat.
BESOGNE : « “Sometimes I lie awake at night, and I ask, 'Where have I gone wrong'. Then a voice says to me, 'This is going to take more than one night.” » Illustrateur de bouquins pour gamins qui ne se vendent pas très bien ; vient de perdre son poste de libraire qui lui permettait de se nourrir.
ÉCHINE : Il y a dans ses veines une magie tirant sa puissance des étoiles et du temps. Les danses et les drogues hallucinogènes dominent les classiques incantations. Magie associée aux charlatans, mais celle à laquelle il se donne corps et âme. (chamanisme)
PRESTIGE : Le futur murmure à ses oreilles des fables que lui seul entend. Insidieux, il tache de ses desseins parfois troublants les carnets de l'artiste.
GANG : Coven Heracleum.
CREDIT : DΛNDELION (avatar). Astra (signa). DΛNDELION (icons).


I can be your painkiller
Florian & Olimpia

« you deliver me from the pain in my life. Easy now to recognize all the misery I have been through. it was beating me to submission,  'til the day you arrived. certainly, I felt alive. strength I had lost was revived. I'm mending inside and we both know why»

Attentif, Florian l’écouta parler de son pouvoir. Sans savoir pourquoi, ça lui serrait le cœur. Peut-être était-il trop sensible, trop empathique ? Mais il n’aimait pas s’imaginer qu’une telle femme puisse souffrir si souvent et si facilement. Surtout qu’elle n’avait pas choisis son don. Malgré la beauté sensible d’une telle capacité, c’était un pur sadisme de la part du hasard. L’air désolé, il aurait voulu lui dire qu’elle n’avait certainement pas besoin de porter des jupes courtes pour être séduisante, qu’elle le serait forcément autant en jeans ou en sweetpants, mais il ne dit rien : ce n’était pas à lui de passer ce genre de commentaire. Si elle aimait s’habiller d’une telle manière, c’était purement et simplement son choix. Or, ce qui le toucha surtout, c’était ce qu’elle ajouta après. Soudainement, il se sentit triste. Triste en pensant à ses soeurs, triste en pensant à sa mère. Il faisait de son mieux pour réparer leur sourire lorsqu’il était brisé, mais il craignait parfois de ne pas le faire comme il le fallait, de ne pas être là au moment où elles en avaient de besoin. Il voulu dire à cette jeune femme qu’il la soignerait si elle le voulait. Qu’elle n’aurait qu’à l’appeler si elle se sentait sur le point de briser. Mais elle s’empara de ses lèvres, le renversa sur le dos, avant même qu’il ne puisse dire quoi que ce soit. Il ne s’opposa pas à cette étreinte soudaine et ses bras entourèrent la jeune femme si fort, comme s’il souhaitait la protéger d’il ne savait quoi. « Elles fonctionnent très bien tes techniques, en tout cas. » S’amusa-t-il en pressant un moment son torse nu contre le sien, appréciant la chaleur tendre qui s’en dégageait. Quand elle parla de cet homme avec qui elle apprenait, la curiosité lui monta au nez. Qui pouvait-il bien être ? Ça n’avait pas d’importance, mais la question s’installa tout de même, persistante, dans un coin de sa petite tête. Sous les doigts d’Olimpia, sa peau frémissait, sa respiration s’accélérait. « Tu ne crains rien. », marmona-t-il, soutenant son regard bleu, comme pour la rassurer. Il se blessait souvent – des coupures de papier, surtout – mais il ferait de son mieux pour ne plus ressentir de douleur si ça se produisait avant qu’il ne la revoie. Il ne voulait pas qu’elle souffre à cause de lui. Ses doigts caressèrent les seins nus, puis ses côtes et ses hanches. Le regard fiévreux, il mourrait d’envie de la prendre à nouveau, mais le temps allait manquer. Elle le confirma elle-même. Le temps, c’était de l’argent. Elle devait aller travailler et il devait aller se pencher sur les planches qu’il devait impérativement terminer pour la semaine prochaine.  Il tira une petite moue furtive, alors que ses mains tâtèrent le galbe de ses fesses.

Sans hésiter, il renversa la jeune femme sur le dos ; c’était à son tour de prendre le dessus. Il plongea son visage au creux du cou d’Olimpia qu’il embrassa chaudement avant de laisser ses lèvres dériver sur sa poitrine dont il titilla, du bout de la langue, une des pointes rosées. Ses mains l’assistèrent dans ses caresses, frôlant puis s’appuyant contre sa taille. La chaleur de sa peau était envoûtante, sa douceur le retenait solidement. Il se demanda vaguement si elle penserait, ne serait-ce qu’un peu, à lui lorsqu’elle travaillerait, tout à l’heure ? Ça l’étonnerait, mais il aimait penser que oui. Alors que sa bouche s’attarda au ventre de la jeune femme et que ses mains glissaient le long de l’intérieur de ses hanches au fur et à mesure où il descendait, il profita de la sensation agréable que lui procura son propre souffle chaud qui rebondissait sur le corps de la sorcière. Taquin, il pinça le haut de la culotte entre ses dents et tira doucement dessus avant de la laisser retomber. Sagement, il embrassa l’aine, dériva sur l’intérieur de la cuisse droite, avant de se redresser. « Un avant-goût de la prochaine fois ? » , lança-t-il comme s’il s’agissait d’une question sans vraiment en être une. Il accompagna sa remarque moqueuse d’un nouveau clin d’œil. À contre-cœur, il se détacha complètement d’Olimpia pour aller s’asseoir sur le bord du lit. Elle devait partir, se résigna-t-il à assumer. Il tira le tiroir de la table de chevet et en sortit un crayon. Il arracha un morceau d’une page de la bible qui s’y trouvait pour y inscrire son numéro de téléphone. Il aurait certes pu demander à Olimpia d’entrer le sien dans son portable ou inversement, mais il appréciait mieux l’aspect plus personnel qu’offrait un numéro écrit sur un bout de papier. Revenant vers elle et lui volant encore ses lèvres, mais d’une manière bien plus chaste, il glissa le papier au creux d’une de ses mains.
(c) DΛNDELION
Florian di Rosa
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I can be your painkiller [ft Florian] [terminé] - Mar 13 Fév - 15:47
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Il y avait au moins de sentiment de sécurité qui s'installait quand il lui confirma qu'elle n'avait rien à craindre avec lui. Tant mieux, car ça l'aurait pas mal embêtée de devoir souffrir alors que leurs relations étaient si agréables à ses yeux. Et il lui en fournissait la preuve à chaque seconde qui passait, lui faisant oublier le fil tumultueux de ses pensées. Ses doigts sur sa peau la faisaient de nouveau frémir, et l'empêcha de prendre la résolution de le quitter dans l'immédiat, repoussant leurs gestes à plus tard. Que c'était dur de ne pas succomber à ses propres désirs quand il lui caressait ainsi la poitrine et les hanches, ses mains tentant sûrement de la convaincre de se laisser faire de nouveau. Mais l'histoire ne s'arrêtait pas là. Elle voulut le convaincre d'arrêter, oui, et de cesser de la prendre ainsi en otage mais au lieu de cal, il la renversa. La jeune femme s'étala sur le dos, quelque peu surprise, écarquillant les yeux et fronçant les sourcils pour l'interroger sur ses gestes, qu'elle compara instinctivement à quelque chose de brusque, à un vieux souvenir d'un homme dont la colère l'avait effrayée. C'est ce sentiment qui s’immisça dans son esprit et s'y bloqua définitivement pour la journée, alors que son corps, lui, ressentait autre chose, qui entrait en contradiction avec sa tête. Sa main se referma sur les draps, son corps se crispa pour tenter de retenir un violent désir, sa peau se hérissait. Elle se fit violence pour ne pas se couper la langue avec les langues lorsqu'elle se la mordit par réflexe pour retenir un gémissement des plus gênants, alors que son souffle était déjà coupé et qu'elle se mit à respirer de moins en moins régulièrement. Ses jambes s'agitèrent, s'écartèrent aussi. Puis tout s'arrêta d'un coup, il se redressa, et la belle blonde eut beaucoup de mal à se remettre de ses soudaines émotions. Elle observa le plafond le temps de comprendre ce qu'il venait de se passer, appréciant le fait qu'il n'en avait pas profité pour la baiser simplement avant de la laisser partir. Non, il ne voulait pas quelque chose de rapide, il lui réclamait même une autre nuit, et cela fit poindre un doux sourire sur le visage de la sorcière. « J'ai hâte d'y être. » souffla-t-elle en se relevant, rattrapant son top voilé pour l'enfiler, avant de l'observer se retourner. Elle sourit en sentant le bout de papier au creux de sa main, et le dévisagea encore un instant. Cette fois, il n'y avait pas à dire, elle devait s'enfuir. « J'te rappelle, promis. » Elle lui rend son clin d'oeil et quitte enfin le lit, ramasse avec peu d'envie ses vêtements étalés sur le sol, constate l'état de la chambre où les plumes s'étaient répandus. Là encore, elle se souvint de toutes ces promesses en l'air de l'époque, de ses volontés de recouvrir romantiquement de plumes un lit pour son lit de noces. Elle n'en aurait jamais. Faisant signe de la main à Florian pour lui dire au revoir lorsqu'elle eût terminé de se préparer, elle fourra le papier dans sa poche et s'éclipsa par la porte silencieusement. Dehors, elle passa une main dans ses cheveux pour se recoiffer rapidement, à la fois triste et heureuse de repartir. Elle avait ressenti tellement d'émotions étranges ce matin qu'elle était perplexe, et pire encore, elle avait l'impression qu'elle devrait encore les subir pour la journée. Elle se repassait en boucle la soirée dans sa tête pour comprendre, en vain. Elle estima alors que c'était sûrement l'ambiance de l'hôtel qui l'avait mise dans un tel état, et retourna à ses occupations habituelles et à son travail qui lui sembla soudain si fade et ennuyant.

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